A Etiolo comme dans la plupart des villages Bassaris et Bédik, on croise les ramasseurs de vin.
A l'aide d'une sangle faites de bambous, ils grimpent au sommet des palmiers.
Une saignée dans le pied de la fleur et le liquide s'écoule dans des bidons.
Ce vin est très apprécié des gens non seulement pour son goût mais aussi pour son prix.
Petite précision, la plupart sinon tous des musulmans ne boivent pas d'alcool mais
les Bassaris et les Bédiks sont animistes et/ou catholiques et boivent de l'alcool.
Peu alcoolisé juste après sa récolte, le taux augmente au fur et à mesure
que le temps passe à cause de la fermentation.
Mais ça ne dure jamais longtemps!
1 commentaires:
C'est différent du ... cubbb hic !!!!
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